„Ich bin noch nicht alt, ich habe noch Zeit. Ich brauche nur Luft, Luft und Abstand, ich muss die Dinge ordnen, und das kann ich jetzt. Je weiter ich laufe, desto klarer sehe ich.“
In einer Ferienhütte im Bayerischen Wald trauert Henriette um ihr ungeborenes Kind. Als draußen die Schatten länger werden und die Tage kürzer, bringt ein Freund ungeahntes Unheil mit sich.
Verführerisch und mit schmerzhafter Präzision seziert Hannah Lühmann die Träume und Ängste einer Generation um die dreißig, die alles zu haben scheint, aber der sich das Glück doch immer entzieht.
La maison d'édition :
Der Name Carl Hanser steht für ein Verlagshaus mit einer Vielfalt, die in der Branche ihresgleichen sucht. Der Bogen spannt sich von Bilderbüchern für Kleinkinder über Kinder- und Jugendliteratur bis zu einem breiten Angebot von Gegenwartsliteratur aus allen Regionen dieser Welt. Ergänzt wird dieses belletristische Programm durch sorgfältige Klassikereditionen internationaler…
L’essentiel du roman est constitué d’un monologue intérieur. Le roman est le portait d’une jeune femme de la génération Y, une génération qui a tout mais se pose mille questions qui l’empêchent d’avancer, une génération en quête de sens qu’elle ne trouve pas. Et de ce point de vue le roman est intéressant mais je trouve que l’auteure est restée à la surface des choses, se contentant de réflexions peu approfondies, frôlant souvent le cliché, voire le remplissage (le cours de yoga qu’on suit dans le moindre détails). Je ne suis pas parvenue à être en empathie avec le personnage et ses tourments. Dommage !
Ce roman se lit avec une grande facilité, mais on dirait que l’autrice est bien peu dans la fiction : la narratrice a son âge, vit comme elle à Berlin, à notre époque… peu d’inventivité donc, ni dans la fiction ni dans l’écriture. On est davantage dans l’autofiction que dans le roman. Les clichés attendus sur les comportements de nos contemporains se multiplient : yoga, méditation, reiki, nombrilisme, retour à la nature, mais à condition que ce soit confortable et ne dure pas trop longtemps, bref rien de bien passionnant. Ou alors, il faut le prendre au second degré et considérer qu’il s’agit d’une caricature/critique d’une façon de vivre et de penser typique de notre société. Je ne sais pas… en tout cas cette lecture ne me laissera pas un grand souvenir.