Nous sommes au tout début des années soixante, dans un village de la France profonde où le destin de Célestine se dessine dès sa naissance. Elle naît un 14 Juillet sur le bord de la route où ses parents viennent d’avoir un accident de voiture. Recueillie par de lointains parents qui n’avaient jamais voulu d’enfants, elle va grandir auréolée de sa beauté extraordinaire et de sa grande intelligence. Mais alors que démarre le récit, Célestine a dix-sept ans et comparaît devant la Cour d’assises des mineurs. Jugée pour meurtre, elle a décidé de garder le silence.
La maison d'édition :
Créées en 1994, les Éditions Hervé Chopin sont toujours indépendantes et libres ; elles comptent parmi les cent premiers éditeurs en France. Née à Paris, la maison a posé ses cartons à Bordeaux en 2017, où elle a constitué une nouvelle équipe. Elle publie une trentaine de titres par an, entre…
c ' est un beau roman , d ' une grande sensibilité avec une bonne documentation sur des dates qui font notre histoire le texte est bien mené et se lit très vite
Il est effectivement impossible de lâcher ce texte tant le suspense est prenant : On nous dit dès le départ que Célestine a tué, mais on ne sait ni qui, ni quand, ni comment et encore moins pourquoi… Les personnages dans cette ruralité profonde entre 1956 et 1973 sont malgré tous très attachants. On y croise le curé violeur, l’oncle violeur et l’amoureux très respectueux. Il serait dommage de dévoiler la fin de ce très beau texte auquel, à mon humble avis, il ne manque pas grand-chose.
Le contexte : C’est l’histoire d’une fille nommée Célestine, qui parle de sa vie et de ses expériences (amoureuse/familiale/amicale/…). Ce livre élabore aussi la vengeance, et quelques références à la guerre. Mon points de vue : J’ai trouvé ce livre plutôt rapide à lire, cependant j’ai trouvé ça « dérangeant » la manièrre dont ce livre à été écrit (des flash-back qui interrompent la lecture) Mais je vous le conseille quand même !! Bonne lecture !
Avis mitigé pour ce court roman qui nous bascule dans les années 60 (les baby boomers retrouvent avec nostalgie "la Séquence du spectateur", une bien aimée sorcière. ..)! Beaucoup de plaisir à lire une première partie alerte, espiègle avec le personnage de Celestine enfant ...la dernière partie est plus decevante, caricaturale,un peu expédiée : gens des villes contre la campagne abrutie, garçons lubriques et Adrien prince trop charmant. ..pas plus d indices pour ne pas gâcher l intrigue :)
Pas banal pour une naissance : « naître après le décès de ses parents ». Je m’attendais donc à un roman hors du commun, surprenant… mais j’ai lu un roman à l’eau de rose, insipide. L’action se situe dans un petit village, à la campagne et le roman collectionne les poncifs : Célestine orpheline est recueillie par un couple peu aimant,sans enfant ; Célestine et sa meilleure amie depuis l’enfance, Edith, l’une belle et qui ne le sait pas, l’autre moche qui deviendra super canon à l’adolescence ; le catéchisme et le attouchements du curé ; les riches parisiens qui font retaper une ferme comme maison secondaire ; le grand amour de Célestine et du fils parisien ; et même la fin que je ne dévoile pas. Écrit à la 3ème personne,le style convenu est plutôt descriptif avec peu d’émotions.
Encore un destin tragique d'un personnage victime de violence sexuelles. Mais trop attendu ; une écriture qui ne permet pas de s'embarquer dans l'histoire.
3 lectrices ont diversement apprécié ce roman. L'histoire repose sur le destin tragique d'une orpheline et fait revivre les années 1960, et l'arrivée de la télévision. Des réserves: -trop de clichés: prêtres et médecins violeurs, oncles incestueux corbeau... -humour limite sur les noms: Marcel petit frère d'Edith, ME Patrick DUPONT PERETTI, Adolph l'allemand... -trop de doubles ponctuations ccas
Roman qui se lie facilement, c’est l’histoire de Célestine, de sa naissance à ses 17 ans. Naissance tragique avec la perte de ses parents dans un accident, la voilà parachutée chez un couple de paysans (oncle et tante) sans enfant. On est dans la France rurale des années 1960. Le suspense est posée rapidement dès le début du roman on apprend que Célestine est face à des juges à la cour d’assisses des mineurs, jugée pour meurtre mais on ne sait rien de plus. On voit grandir la fillette, elle n’est pas malheureuse mais l’ambiance familiale n’est pas des plus chaleureuses, on insiste beaucoup sur la beauté de Célestine. Puis la rencontre du Curé néfaste mais rien n’est parlé. C’est l’arrivée des gens de la ville qui redonne confiance à Célestine. Les personnages sont un peu trop caricaturaux, les mauvais ceux de la campagne profonde, les beaux et bons ceux de la ville… roman un peu « naïf»