Der Pfau (2016)

Isabel Bogdan

»Einer der Pfauen war verrückt geworden.« Dummerweise geschieht das gerade, als Chefbankerin Liz und ihre vierköpfige Abteilung sich mitsamt einer Psychologin und einer Köchin zum Teambuilding in die ländliche Abgeschiedenheit der schottischen Highlands zurückgezogen haben. Der verrückt gewordene Pfau, das rustikale Ambiente und ein spontaner Wintereinbruch sorgen dafür, dass das Wochenende ganz anders verläuft als geplant. So viel Natur sind die Banker nicht gewohnt.
Isabel Bogdan, preisgekrönte Übersetzerin englischer Literatur, erzählt in ihrem ersten Roman pointenreich und überraschend von der pragmatischen Problemlösung durch Lord McIntosh, von der verbindenden Wirkung guten Essens und einer erstaunlichen Verkettung von Ereignissen, die bald keiner der Beteiligten mehr durchschaut. So britisch-unterhaltsam ist in deutscher Sprache noch nicht erzählt worden!

A propos de l'auteur :

Isabel Bogdan :

Isabel Bogdan, geboren 1968 in Köln, studierte Anglistik und Japanologie in Heidelberg und Tokyo. Lebt in Hamburg, weil es da so schön ist. Sie verfasste zahlreiche Übersetzungen, u.a. von Jane Gardam, Nick Hornby, Jonathan Safran Foer, Jonathan Evison und Megan Abbott. Sie ist Vorsitzende des Vereins zur Rettung des »anderthalb«. 2011 erschien ihr erstes eigenes Buch, Sachen machen, bei Rowohlt, außerdem schrieb sie Kurzgeschichten in Anthologien. 2006 erhielt sie den Hamburger Förderpreis für literarische Übersetzung (für Tamar Yellin: Das Vermächtnis des Shalom Shepher). Für den Romananfang ihres ersten Romans Der Pfau , der bei Kiepenheuer & Witsch im Frühjahr 2016 erscheint, erhielt sie 2011 den Hamburger Förderpreis für Literatur.

© Smilla Dankert

La maison d'édition :

Kiepenheuer & Witsch :

Der 1951 gegründete Verlag Kiepenheuer & Witsch ist ein deutscher Publikumsverlag mit Sitz in Köln, der kritische und populäre Sachbücher sowie literarische Werke von renommierten ebenso wie von jungen Schriftstellern publiziert. Derzeit werden die Werke von über 500 Autoren verlegt. Seit 1982 hat der Verlag eine eigene Taschenbuch-Reihe, die KiWi-Paperbacks,…

3|5
1 avis
11 Commentaires
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  • Otmar
    19 janvier 2017

    Otmar: Der Stil ist unkompliziert, natürlich, geradeaus und nicht ohne Humor - man ahnt die Übersetzerin aus dem Englischen hinter dieser Prosa. Die Kälte in den Zimmern der McIntosh wird mehr als wettgemacht durch die Wärme, mit der Isabel Bogdan die Geschichte erzählt. Der Text hat etwas von ihrem spitzbübischen Lachen (cf. Umschlagklappe), das sich wie von selbst auf den Leser überträgt, und das Rezept des Hot Toddy (Tee mit Honig, Whisky und Zitronensaft) werde ich sicher einmal ausprobieren.

    • Martine
      19 janvier 2017

      Martine: Très distrayant. Lecture agréable, facile, lecture de vacances. On imagine bien un film. Personnages et situations burlesques, humour très british /scottish. Comique de situation servit par un style très efficace. Ironie aussi dans la description de ces londoniens, travaillant dans une banque d’investissement, ne connaissant que le monde de la finance et la grande ville et se retrouvant coupé du monde dans les Highlands.

  • Sylvie
    19 janvier 2017

    Das Buch hat Spaß gemacht. Ich könnte es mir gut als Drehbuch für einen Fernsehfilm vorstellen.

  • A.B
    25 janvier 2017

    Fazit: Gut geschrieben, leicht zu lesen und unterhaltsam, bewegt sich dabei immer jenseits des Trivialen. Sehr gut auch als Ferienlektüre geeignet. Insgesamt gelungen.

  • L.A.D
    25 janvier 2017

    Un livre désopilant et tout à fait réjouissant. Un concentré d’humour très « british ».

  • J.Ch.M
    25 janvier 2017

    J.Ch.M Bien sûr, c’est plaisant, bien enlevé, humoristique, on passe un bon moment. Il me semble cependant que (du point de vue de la matière) il s’agit plus d’une nouvelle que d’un véritable roman. Chez Robert Lamoureux, le lundi, au bout du week-end, le canard était toujours vivant. Ici, le paon meurt assez vite, le problème est plutôt celui de son évacuation. On se demande un peu de quoi ce pauvre volatile perturbateur peut bien être une image, lui qui est le seul « personnage » de l’histoire à ne pas recevoir de nom (même l’aspirateur en reçoit un). Sans doute fausse piste, sauf qu’il représente bien l’univers aristocratique menacé par la ruine et la vacuité où il vit un moment. Le mieux, c’est l’idée de l’expérience in vitro (un peu comme chez Marivaux), dans un endroit coupé du monde (aussi par la neige), et comment le teambuilding se déroule loin des prévisions. Et que tout le monde finit par mentir à tout le monde. Et aussi que l’écriture du roman multiplie les points de vue (même ceux des chiens), sauf celui du paon, mais s’en tienne obstinément au style indirect. C’est logique, d’ailleurs, comme l’aimable bavardage de quelqu’un qui (mis à part les espaces entre les chapitres) ne reprendrait jamais son souffle et garderait le crachoir pour lui. Ce que le lecteur critique devrait éviter de faire à son tour.

  • U.F
    25 janvier 2017

    Eine unterhaltsame leichte Komödie. Glaubwürdige und warmherzige Figurenschilderung. Ab und zu ein paar Längen und insgesamt sicher nicht der große Roman der Saison, aber ein angenehmes Lesevergnügen!

  • E.A
    26 janvier 2017

    Récit d’un week-end de team-building pour banquiers dans une maison perdue au milieu de nulle part avec au centre un paon qui sera finalement l’occasion d’un festin. Plutôt agréable à lire, des passages drôles, mais garde un peu un aspect « exercice ».

  • E.P
    26 janvier 2017

    Ein unterhaltsames Buch, sehr gut geschrieben, vor allem der typisch britische Humor mit seinem "understatement" hat mir sehr gut gefallen. Aber ein großer Roman?

  • F.D
    26 janvier 2017

    Très agréable lecture. Une histoire drôle et originale. Le point de départ est absurde : dans un grand domaine écossais dont les propriétaires reçoivent des hôtes payants, un paon est devenu fou et s’attaque à tout ce qui est de couleur bleue ; ainsi, à la voiture d’un responsable d’investissements bancaires venue en séminaire en fin de semaine avec 4 banquiers , une psychologue, une cuisinière. À cela s’ajoutent divers incidents : maladies, coupures de courant, grosse chute de neige qui empêche le retour des Londoniens chez eux. Mais au lieu de tourner à la tragédie, l’histoire tourne au conte de fées : travail productif des banquiers, sens de l’entr’aide, gentillesse réciproque. Cependant, le tout, reposant sur des mensonges, au mieux des non-dits, est source de mauvaise conscience. L’ensemble est raconté avec un humour retenu, non dénué de satire : satire des modes et des tics du management actuel. À la rigueur, si on veut donner plus de portée au texte, on peut y voir la métaphore du fameux grain de sel (de sable ??) qui fait vaciller les situations établies et apparemment prospères. Mais on peut lire le roman au 1er degré comme une histoire intelligemment distrayante. Très bonne utilisation du temps imposé et du huis-clos.

  • E.B
    26 janvier 2017

    Ganz nette Geschichte, amüsant, aber leider furtchtbarer Schreibstil. Die regelmäßigen Wiederholungen der Umstände langweilen und geben einem das Gefühl ein Kinderbuch zu lesen.