Orphelin depuis son plus jeune âge, Babinsky possède un don hors du commun pour le tir. Quel que soit l’objet qu’il décide de lancer, il ne rate jamais sa cible.
Il est assez vite repéré par le petit Roberto qui l’embauche pour devenir tueur à gages.
Oui mais voilà, Babinsky a un cœur gros comme ça et tuer des gens –mêmes méchants– ce n’est pas trop sa tasse de thé. A moins que… à moins qu’il ne les rende heureux et que leur dernier jour soit le plus beau de toute leur vie. A cette condition, il veut bien réfléchir…
C’est après avoir abattu sa première victime que Babinsky commence à consulter un psy déjanté, qui va l’aider, peut-être, à trouver sa voie.
La maison d'édition :
Paul&Mike :
Paul&Mike est une maison d’édition jeune et indépendante, rachetée par ses auteurs en 2013. Elle est distribuée par Hachette Livres en physique et Immatériel en numérique. Paul&Mike a fait le choix de la passion en proposant des genres délaissés : création d’une collection de recueil de nouvelles, publication d’auteurs inconnus…
très amusant, un vrai régal.
Peut-on aimer un assassin ? Oui, assurément. Je suis tout de suite tombée sous le charme de ce bon vieux Babinsky, tueur à gages de son état. Ce qu’il peut être attachant, ce type ! Je l’ai aimé dès le début. Un tueur, certes, mais avec une éthique et une morale à toute épreuve. Et qui écoute du Brahms, s’il vous plaît ! Babinsky a grandi dans un orphelinat et le malheur… il s’y connaît. La solitude, aussi. Néanmoins, il a deux talents très rares : il est un viseur d’exception – ce qui est indéniablement un avantage dans sa profession - et il a le don de rendre heureux les autres. Et il s’emploie constamment à bien développer les deux. Il ne peut pas descendre son contrat sans le rendre heureux au préalable, sans lui faire vivre le plus beau jour de sa vie. Et cela peut prendre un temps fou. Mais pas question de déroger à sa mission : sa victime sera exécuté, bien entendu, mais en état de bonheur. Mais son métier, voyez-vous, lui donne des insomnies, et alors il va voir un psy. Je ne vous raconte pas le psy : un autre déjanté pas possible, mais juste ce qu’il fallait à l’âme tourmentée de notre héros. Ce roman est un savant mélange d’amour, de générosité, d’amitié et d’empathie, le tout saupoudré d’un humour subtil qui traverse tout le livre et qui fait le bonheur du lecteur. Vu l’esprit décalé du récit, je m’attendais à un final surprenant, inattendu. L’auteur a choisi, au contraire, de terminer son œuvre très sagement. Même trop, à mon goût. Cela ne m’a pas empêché d’apprécier ce roman, brillamment écrit, qui m’a fait passer de très bons moments de lecture. Je crois qu’on tient là une graine de romancier très prometteuse. J’attends avec impatience votre prochain livre, M. Zaoui, il va falloir se remettre au travail !
bon livre
Très très très très très très bon livre.
Si je devais offrir un livre à Noël, je l'offrirais à mon petit frère. Pourquoi ? Car mon frère n'aime pas beaucoup lire des romans. Moi, qui n'aimait pas beaucoup lire non plus, grâce à ce livre, j'ai aimé lire. L'histoire est passionnante et amusante et amusante. C'est très facile à lire. De plus, mon frère aime les livres simples,
Si je devais offrir un livre à Noël, je l'offrirais à mon petit frère. Pourquoi ? Car mon frère n'aime pas beaucoup lire des romans. Moi, qui n'aimait pas beaucoup lire non plus, grâce à ce livre, j'ai aimé lire. L'histoire est passionnante et amusante. C'est très facile à lire. De plus, mon frère aime les livres simples, avec de nombreux passages ironique. Voilà pourquoi je lui offrirais ce roman. Quentin Seconde 2, Lycée Louis Armand
Si je devais offrir le livre "Je suis un tueur humaniste" à Noël je l'offrirais à ma grand-mère parce que c'est un livre avec une belle morale, qui fait réfléchir sur la vie, sur soi-même. Ma grand-mère aime beaucoup se remettre en question, et surtout se poser des questions. Le point qu'elle aimerait le moins dans cette histoire serait le meurtre et le métier du personnage principal, "tueur a gage", car elle est très protectrice et ne pense pas à la mort. Mathéo Allemand Seconde 2 Lycée Louis Armand
Si je l'offrais à Noël, je l'offrirais à ma tante parce qu'elle bien lire des romans de Sciences-Fiction et Policier, elle est fan de l'auteur Stephen King, tout comme moi et je trouve que ce livre se rapproche des histoires de notre idole puisque les points communs sont l'humour décalé voir un peu noir, le suspense à chaque chapitre, un roman avec des personnages mystérieux et intrigants. Voila pourquoi j'aimerais lui offrir se 1er roman pour Noël . Thomas.C en seconde 2 au lycée Louis Armand à Chambéry, France.
Si je devais offrir le livre "Je suis un tueur humaniste" à Noël : je l'offrirais à mon ami Yann parce qu' il aime beaucoup les histoires de meurtres et d'assassinats , mais il aime aussi les voyages autour du monde, les visites des vestiges antiques et les nouveaux monuments. Il aimerait aussi ce livre pour son humour et cette alternance d'E-mail et d'histoire qui donne une rythmique au texteet permet facilement l'entrée dans l'histoire.
Nous recommanderions ce roman « un tueur humaniste » à un ami car c’est un livre d’action et de suspens, on ne sait jamais quand et comment le tueur va tuer ses victimes. Nous avons apprécié ce livre grâce a son rythme et sa facilité de lecture, on l’a terminé en moins d’un jour. Nous pensons qu’il plairait beaucoup à notre ami qui adore ce genre d’histoire rythmée, remplie de suspens et originale. Nous pensons qu’il apprécierait particulièrement le meurtre dans la piscine. Le personnage principal est intriguant mais reste à l’écoute de ses victimes pour leur offrir une mort dans les meilleures conditions. C’est un livre accessible à tous et nous vous recommandons donc de le lire. Lucas et Grégoire 202 Lycée Louis Armand
Si j'offrais à Noël " Je suis un tueur humaniste", je l'offrirais à mon arrière-grand-père parce que ce livre me fait penser à la guerre. Mon arrière grand-père a fait la guerre. Il avait donc pour obligation de tuer des personnes pour sa survie. Je pense que ce n'était pas ce dont il avait envie.Dans ce roman, Babinsky a le même point de vue.
Si nous offrions à Noël ce premier roman nous nous l'offririons à nous même parce que, l'ayant lu format numérique nous voudrions le relire mais cette fois en format papier pour, avec un peu de chance rencontrer l'auteur, le lui faire dédicacer. Ce roman nous a plu car le personnage principal est charismatique et s’accroche à ces idéaux jusqu'au bout ayant une façon de penser et d'agir qui lui est propre, ce qui nous inspire. Nous aimerions également pouvoir partager ce roman avec notre famille et lui faire découvrir cette histoire merveilleuse. Yann (l’ami de Simon ;-) ) et Mathieu Lycée Louis Armand 2de2
Un joli premier roman. Une historie drôle, déjanté, émouvante aussi. Des dialogues ciselés et un esprit fin. Une écriture clair, limpide, tonique. Une belle surprise. Je recommande vivement.
Un roman original avec un personnage très attachant. Pourtant Babinsky a toutes les caractéristiques d'un antihéros : c'est un tueur à gages. Cependant, avant de tuer ses victimes il va s'assurer de les rendre heureuses : un réel tueur humaniste. J'ai savouré ce roman ! Je trouve qu'il donne une touche de bonheur par rapport à la sélection des autres romans qui sont tous sur le thème de la tristesse. Hombert Julie, Terminale L, Lycée Pierre La Ramée.
Très beau livre, drôle, intelligent et bien écrit
Un véritable régal. Des personnages truculents, une gouaille, une patte. Ce premier roman est une tuerie et présage d'un talent à suivre !
Un style hors norme pour des personnages hors cadre. Un sujet épatant et vraiment bien écrit. Génial.
Auteur du commentaire: Fabrizio Di Majo (Esprit Livre-Turin) Ce récit est amusant et un peu invraisemblable, mail il a quelque chose à nous apprendre. Babinsky est un tueur à gages, très professionel, mais il a une caractéristique qui le différencie de ses camarades: il veut que les personnes qu’il tue – des crapules, pour la plupart – meurent heureuses. Mais quand il reçoit la mission de tuer un ingégneur qui n’est absolument pas un voyou, il commence à avoir des doutes. Nous ne dévoilerons pas la dernière scène. Le récit est amusant, car il est écrit avec beacoup d’humour, a partir de l’Avertissement fondamental. <>. Et les dialogues entre le protagoniste e son psy – un peu cinglé, comme touts les membres de cette honorable catégorie – sont un délice, a partir de cet échange: - C’est quoi votre job? - En fait heu...je suis tueur à gages. - Un job comme un autre. L’histoire est aussi un peu invraisemblable, car mener à bien une centaine d’homicides sans se faire pincer ce n’est pas facile. Et ensuite, Babinsky prend en charge aussi des missions sans savoir si sa victime est ou pas un voyou qui mérite de disparaÎtre, et ça n’est pas cohérent avec son esprit humaniste. Mais, en fin de compte, la vraisemblance n’est pas toujours nécessaire (sans quoi, Gregor Samsa ne sarait jamais devenu un grand insect); l’important est que apres tout l’histoire soit cohérente avec la donnée initale, et qu’elle arrive à nous dire dans une manière croyable ce que l’auteur voulait nous communiquer. Et le message de l’auteur, à mon avis, est le suivant: vous vous demandez, quelque fois, de quoi a besoin votre prochain pour être heureux? Et si vous vous le demandez et le comprenez, savez vous l’aider à l’obtenir (sans le tuer, cela va sans dire)? Pour conclure, un roman vraiment agréable, mais qui va bien au dela du simple divertissement.