Trois femmes, trois vies, trois continents. Une même soif de liberté.
Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l’école.
Sicile. Giulia travaille dans l’atelier de son père. Lorsqu’il est victime d’un accident, elle découvre que l’entreprise familiale est ruinée.
Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu’elle est gravement malade.
Liées sans le savoir par ce qu’elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est destiné et décident de se battre. Vibrantes d’humanité, leurs histoires tissent une tresse d’espoir et de solidarité.
Un roman avec une ecriture souple et agréable Une histoire originale Des portraits attachants Une fin originale le tout très agréable et frais un excellent moment de lecture
Tout à fait en accord avec toi ! C’est bien fait et je pense qu’une adaptation cinématographique sera faite. Ne boudons pas notre plaisir .
Si j'offrais "La Tresse" à Noël, je l'offrirais à ma sœur qui est une addict des romans qui s'inspirent des gens du monde, c'est en rapport avec son métier, elle est hôtesse de l'air. En lisant ce roman tiré de différents documentaires et de vies privées, elle pourrait être transportée par les différentes histoires des femmes racontées dans ce texte, car nous avons tous une petite part de notre vie en relation avec ces femmes. InèsH
Auteur du commentaire : Fabrizio di Majo (Esprit Livre- Turin) L’idée de lier l’histoire de trois femmes qui vivent dans des mondes énormément différents – l’Inde plus arriérée, la Sicile de l’artisanat traditionnel, le Québec plus riche et développé – est très originale. Le récit de la lutte de ces trois femmes contre les avanies de la société traditionnelle (Inde), les difficultés qui naissent des changements de l’économie (Sicile), la cruauté de la compétition dans le milieu du tertiaire avancé (Montréal) est extrêmement captivant; le roman se lit d’un trait. Le happy end, d’ailleurs, n’est pas simplement consolatoire, genre “et ils vécurent heureux pour toujours”; l’auteur ne nous cache pas que la lutte n’est pas finie, et que en route on perdra quelque chose, mais le sien est un message d’espoir et d’incitation à aller jusqu’au bout, coûte que coûte. Très beau!