Rouge encor du baiser de la reine (2018)

Karen Anne

Les parchemins du petit monstre patientaient dans l’ombre…

Mont Olympe, Bithynie, 1054. La vie et les amours tumultueuses de Zoé Porphyrogenète — vieille reine byzantine remisée trop longtemps au gynécée — racontées par celui qui l’aima plus que tous : l’eunuque nain Nicétas. Paria, bouffon, poète sage ou fou, le moine Nicétas dévoile tout à son dernier amour, un homme cette fois…

Sexe, pouvoir et trahison dans la Byzance du XIe siècle : Rouge encor du baiser de la reine, un roman lyrique et exubérant !

A propos de l'auteur :

Karen Anne :

Anne Karen est née en 1970 à La Rochelle et vit à Bruxelles. Elle a fait des études de lettres et de théâtre à Paris, des enfants et des séjours à l’étranger qui ont nourri son répertoire de conteuse et élargi le cercle des amis.

Rouge encor du baiser de la reine est son premier roman

La maison d'édition :

Quidam :

Quidam éditeur existe depuis plus de quinze ans, la maison ayant été créée en mai 2002. Notre devise : «L'insolite, le singulier. Des auteurs plutôt que des livres.» Quidam éditeur se consacre à la littérature contemporaine, française et étrangère. Notre attirance va ainsi vers l'insolite mais sans exclusive, l'éventail de…

5|5
1 avis
2 Commentaires
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  • Elodie Borsa
    7 novembre 2018

    Un petit bijou littéraire ! Un style comme on n'en fait plus, une langue parfaitement maitrisée : un vrai régal de lecture !

  • 32254
    11 décembre 2018

    J’ai été absolument séduite par la forme et le fond du livre d’Anne Karen avec en filigramme la vie de Zoe Porphyrogénète. J'ai plongé dans la tête et le coeur de Nicétas, eunuque, nain sous l'empire Byzantin qui raconte l'amour, « que le cœur parle au cœur », dénominateur commun aux 20 feuilles qui composent l’ouvrage. Nicétas qui s’adresse au seigneur des philosophes, tour à tour « roi des érudits », « Etoile de l’éloquence », « muse », « frère aimé » et qui dans une frénésie d’écriture conjugue le beau et le vrai pour convaincre et raconter de sa « voix d’encre » la vie qu’il n’a jamais demandée… J'ai été envoutée par la sensualité et la poésie. L'idée même d’être aimé(e) y est remarquable. A lire, d'une redoutable addiction.