Lorsque Mme Lepire, dans sa maison de retraite, apprend que l’enquête concernant un certain Monsieur Roland Dilou, mort dans d’obscures circonstances cinquante ans auparavant, a été rouverte, c’est un choc. Et de se remémorer un passé lointain, resté trouble : des parents venus d’horizons diamétralement opposés (l’un wallon, l’autre flamand), une mère bipolaire, un père effacé mais adoré et, en effet, ce fameux Roland Dilou, psychiatre, de plus en plus présent au sein même de la cellule familiale… Qui était-il et que faisait-il réellement chez eux ? Peu à peu les pièces du puzzle se mettent en place et Mme Lepire entrevoit une réalité longtemps occultée.
La maison d'édition :
A l'origine, Le Mercure de France est une revue française fondée en 1672 sous le nom de Mercure Galant. Elle devient une maison d'édition au XXe siècle, et publie les premières traductions de Nietzsche en français, l’éditeur publie les premiers textes de Paul Claudel, Colette, ou encore Guillaume Apollinaire, et…
Une vielle femme en maison de retraite repense à sa jeunesse, à ses parents, et à un louche personnage dont la mort (meurtre ?) non éclairée à l’époque, fera l’objet d’une réouverture d’enquête. Ce roman ne m’a pas vraiment frappée : l’histoire m’a parue sans relief et l’écriture assez confuse. Dommage pour moi que je n’ai pas su, peut-être, comprendre l’intention de l’auteure.