Une propriétaire d’aréna essaie de passer au travers de l’hiver tout en recollant ses morceaux, entre les pratiques du spectacle de patin et le son des pics-bois, pendant qu’on retient notre souffle comme devant les triples axels et les doubles boucles piqués des patineurs à la télé. Sauf quand je suis un aréna, un livre qui se lit sur les bancs froids des estrades, un manteau sur le dos et une frite-sauce dans les mains.
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A propos de l'auteur :
MARSEILLE Frédérique :
Née en 1989 sur la Rive-Sud de Montréal, Frédérique Marseille a des parcours pêle-mêles. À une saison de terminer son bac en histoire de l’art à l’Université de Montréal en 2013, elle quitte le milieu universitaire pour démarrer sa première startup dans le domaine des technologies, soit la plateforme web Art Bang Bang. Dans les mêmes années, Frédérique travaille aussi comme guide touristique aux États-Unis pour finalement démarrer l’agence de voyages Nomadarts. En parallèle, elle devient la directrice artistique du 1001Fesses Project, une œuvre sur la diversité corporelle qu’elle réalise depuis 8 ans, en collaboration avec la photographe Emilie Mercier. En 2016, Frédérique quitte la ville de Montréal pour s’établir dans les Cantons-de-l’Est où elle démarre, dans le cadre d’une entreprise familiale, le centre d’escalade Backbone. Ses chemins sont multiples et les burnouts, ratoureux dans ses angles morts. Lire et écrire restent ses phares depuis l’enfance où, déjà, la mégalomanie côtoyait ses désirs de solitude.
La maison d'édition :
Ta Mère :
Ta Mère est une jeune maison d’édition qui a pour mission de publier des auteurs proposant des visions personnelles et singulières du monde, le tout en utilisant des formes littéraires tout aussi uniques qu’inventives et en touchant à des domaines aussi variés que le théâtre, le roman, la nouvelle ou…
Elle va avoir 30 ans. C’est une amoureuse seule, propriétaire d’une patinoire. Elle s’y investit totalement, elle devient l’aréna et nous...nous sommes dans sa tête et ça va à tout berzingue, d’élucubrations en discours dithyrambiques. Avec l’accent québécois, c’est un régal
Un bonheur constant, dans une langue choisie et poétique.
J'ai bien essayé de persévérer, parce qu'on me l'avait vanté, mais j'ai craqué à la moitié. Je n'ai pas accroché du tout.