« Une fine réflexion philosophique sur la société » (Manon Dumais, Le Devoir), « un thriller identitaire prenant » (Iris Gagnon-Paradis, La Presse), « un roman plein de sensibilité sur la vie d’une femme transgenre dans un monde dystopique » (Emmanuelle Martinez, Clin d’œil), Valide défie les genres de plus d’une façon. Chris Bergeron nous propose avec ce premier roman une œuvre de fiction qui revisite son passé, tout en tournant un regard vers l’avenir et ses potentialités tantôt enthousiasmantes et tantôt angoissantes. En résulte l’histoire d’une femme trans montréalaise qui, un soir de 2050, se fait révolution.
Pour vous le procurer en France : La librairie du Québec à Paris
Pour vous procurer le livre au Québec : Les libraires
A propos de l'auteur :
BERGERON Chris : Chris Bergeron est multiple, fluide : après des débuts en journalisme qui l’ont menée à la direction de l’hebdo culturel Voir, elle a mis sa sensibilité artistique au service des plus grandes agences de pub, occupant aujourd’hui un poste de direction chez Cossette. Elle offre également des conférences sur les thèmes du leadership, de la diversité, de l’inclusion et des droits des personnes trans.
Photo (c) Gaëlle Leroyer
La maison d'édition :
Depuis plus de 30 ans, les Éditions XYZ publient des textes de création ou de réflexion, signés par des auteurs débutants ou confirmés, et toujours placés sous le sceau de l’excellence.
L’autrice, qui se place dans le personnage principal ( Christelle) de ce roman , nous retrace sa vie des années 2020 à 2040 , dans un long monologue face à une machine. La temporalité du monologue se déroule sur un temps court de 8 heures qui s’inscrit dans un processus expérimental pour lequel Christelle a accepté de jouer le jeu face à la machine. Comme le sous titre l’indique, ce roman est d’abord une autobiographie où l’autrice peut nous dévoiler toutes les interrogations et les luttes que sa mutation transgenre peuvent engendrer. Cet aspect est abordé avec pudeur, et profondeur dans les analyses et perceptions. L’aspect science fiction, que l’autrice a voulu placer dans ce roman, en nous plaçant en 2040, me semble contre productif et sans grand interêt.